Dimitri Payet, qui va s'engager avec l'OM pour 4 ans la semaine prochaine, se délecte par avance de son association avec Valbuena... qu'il espère cotoyer encore chez les Bleus.
«A gauche, à droite ou même derrière l'attaquant», Dimitri Payet (26 ans) espère être «décisif» avec Marseille où le Réunionnais va s'engager officiellement la semaine prochaine pour quatre ans, aprèsl'accord de principe trouvé avec Lille. L'international (5 sélections), probant avec l'équipe de France lors de sa tournée en Amérique du Sud, début juin, a aussi choisi l'OM pour s'installer chez les Bleus, «une de (ses) motivations cette saison», explique-t-il à notre journal, samedi.
Contre l'Uruguay (0-1) et le Brésil (0-3), son entente avec Mathieu Valbuena s'est avérée prometteuse, «des affinités sur le terrain» qu'il entend mettre à profit. «L'OM a désormais les deux derniers meilleurs passeurs du Championnat. L'attaquant sera content, à mon avis.» André-Pierre Gignac, justement, a déjà salué sa signature et l'a invité à réviser son chant d'arrivée. «Il m'a un peu mis dans la merde, sourit Payet. Depuis deux jours, je réfléchis à l'accueil qu'il vont me réserver...»
«A gauche, à droite ou même derrière l'attaquant», Dimitri Payet (26 ans) espère être «décisif» avec Marseille où le Réunionnais va s'engager officiellement la semaine prochaine pour quatre ans, aprèsl'accord de principe trouvé avec Lille. L'international (5 sélections), probant avec l'équipe de France lors de sa tournée en Amérique du Sud, début juin, a aussi choisi l'OM pour s'installer chez les Bleus, «une de (ses) motivations cette saison», explique-t-il à notre journal, samedi.
Contre l'Uruguay (0-1) et le Brésil (0-3), son entente avec Mathieu Valbuena s'est avérée prometteuse, «des affinités sur le terrain» qu'il entend mettre à profit. «L'OM a désormais les deux derniers meilleurs passeurs du Championnat. L'attaquant sera content, à mon avis.» André-Pierre Gignac, justement, a déjà salué sa signature et l'a invité à réviser son chant d'arrivée. «Il m'a un peu mis dans la merde, sourit Payet. Depuis deux jours, je réfléchis à l'accueil qu'il vont me réserver...»
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